Contexte : Avant de commander une caisse de bouteille de vin – afin de disposer de ce qu’il faut pour recevoir des invités –, Lorène demande à l’Esprit universel son point de vue sur l’alcool.
L’Esprit universel dit : L’alcool pour vous est synonyme de joie. Lorsque vous offrez une bouteille, c’est pour la joie. C’est comme si vous offriez un moment de joie à ceux qui vous invitent. Cette attention est pure, et nous vous invitons à la respecter. Nous vous invitons à faire grand honneur au cadeau que l’on vous fait lorsqu’on vous apporte et vous offre une bouteille d’alcool, qui correspond à ce qui éveille de la joie chez vous.
L’alcool peut être pris comme un médicament, lorsque vous sentez que vous avez besoin d’avoir chaud au cœur. Il a le même rôle que le chocolat.
Lorsque vous vous servez un verre, cela peut donc être pour une raison de consolation. Quand cela arrive, soyez conscients de la raison qui habite votre action de vous servir un verre d’alcool. Ne vous jugez pas pour cela. Soyez simplement conscients de pourquoi vous le faites.
Si vous observez que le résultat de cette action ne vous apporte ni joie ni consolation, cela veut dire que votre intention initiale n’était ni pour la joie, ni pour la consolation.
Parmi ces motifs on peut citer la fuite, l’endormissement, la haine de soi, l’autodestruction et la tristesse.
Lorsque vous êtes motivé par ces intentions-là, l’acte de boire de l’alcool vient acter ces intentions, et rendre réels leurs effets pour vous. En rendant réels ces effets pour vous, cet acte donne plus de poids aux pensées qui l’ont motivé. Vous devenez donc plus triste, plus abîmé, plus haineux envers vous-même, plus fuyant, plus passif et endormi.
À ce moment, c’est comme si vous nourrissiez un monstre en vous, et ce monstre peut, à force de devenir plus fort par les soins que vous lui apportez, prendre le contrôle d’une grande partie de votre existence.
Il est donc primordial de prendre conscience de vos intentions lorsque vous buvez. Et chaque fois que le résultat n’est pas celui que vous attendiez – que là où vous attendiez de la joie et de la chaleur dans le coeur, vous trouvez de la tristesse et de l’endormissement – , alors prenez-en conscience, prenez-en note, et allez voir pourquoi vous entreteniez des intentions dont vous n’étiez même pas conscients lorsque vous avez choisi de boire. D’où vient ce manque de conscience ? Que cherche-t-il à protéger de votre vue ?
Allez-y avec tout l’amour dont vous êtes capable, appelez l’amour que nous vous envoyons afin d’éclairer votre recherche. Lorsque vous avez trouvé la raison, lorsque vous avez reconnu l’intention qui était à la source de cette tristesse ou de cet endormissement par exemple, ne vous jugez pas. Observez simplement, et choisissez une nouvelle intention plus en accord avec ce que vous voulez voir se manifester dans votre vie.
Lorène : Pourquoi dans certains courants spirituels ou ésotériques, l’alcool est considéré comme un poison dès sa première goutte ?
L’Esprit universel dit : L’alcool, comme la plupart des drogues qui produisent chez vous un effet agréable, a très vite fait d’être considéré comme un produit dont seuls les effets d’altération de conscience sont recherchés. Ce n’est pas comme cela que vous devriez traiter ces produits. Et il en va ainsi de tout ce qui vous est agréable, et qui à cause du mauvais usage que vous en faites, est considéré comme mauvais pour votre santé. Vous devez comprendre le but réel de l’usage, de l’utilisation de ces produits.
Choisir de vous priver de ces produits peut provoquer un sentiment de frustration, et une conception erronée de ce que vous êtes. Vous êtes avant tout un esprit, et non un corps. Le corps est le prolongement physique de ce que vous êtes. Ce corps est à respecter. Il est une expression de votre esprit, et non l’inverse. Ainsi, les intentions sont bien plus créatrices pour l’état de votre corps physique, que le sont les substances que vous ingérez.