Contexte : Florian a des envies de voyage, il demande à l’Esprit universel s’il a quelque chose à dire à ce sujet.
Adrien : J’ai encore eu l’image d’un bateau, cette fois ce n’est pas un drakkar, c’est un voilier avec trois mâts, et il accoste contre une petite falaise. Le bateau vient heurter le bord de l’île, il coule, et il y a un petit bateau type optimiste avec une voile, qui, quand le grand bateau coule, ressort de l’eau. Et donc on se retrouve avec un petit bateau.
Lorène tourne la tête vers la fenêtre et découvre une énorme montgolfière qui passe très très proche de la maison, emplissant tout le champ de vision.
L’Esprit universel dit : Pour le moment, tu es encore porté par les entreprises collectives. La force qu’il y a dans un trois-mâts est un élan dont tu as besoin. N’entends pas que tu aurais besoin de cet élan pour partir dans une aventure seul. Mais cet élan nourrit ton sentiment d’unité collective, de telle sorte qu’arrivé à maturité, tu seras capable de ressentir cette unité collective, ce collectif autour de toi, dans toute situation où tu rencontreras du monde. Tu seras un être essentiellement collectif.
À ce moment tu pourras t’alléger de la lourdeur des organisations collectives, pour vivre ta collectivité d’une façon plus libre, plus souple et plus légère.
Adrien : Ok, on ne me dit pas si tu voyageras ou pas. Je crois que c’est tout.