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Que faire pour la planète ?

Par 5 septembre 2020 septembre 12th, 2020 Donner du Sens, Nature

Contexte : Lors d’une séance de guidance collective, une participante, s’interrogeant sur l’avenir de l’humanité et de la planète Terre, propose de soumettre la question suivante à l’Esprit universel :

Participante : Quel est notre rôle à la fois individuel et collectif, vis à vis de notre environnement et de son évolution ?

Adrien : L’image qui m’est donnée c’est celle d’une personne, d’un humain dans une sorte de globe, et sur le globe il y a les quatre coordonnées Est-Ouest-Nord-Sud.

L’Esprit universel dit : Il est important pour vous que vous sachiez vous situer. Vous êtes sur Terre. Vous marchez sur cette Terre. Vous regardez les étoiles. Vous respirez l’air entre la Terre et les étoiles. Vous êtes enveloppé par des énergies vibrantes, vivantes. Vous êtes inclus.

Vous cherchez d’ordinaire votre sentiment d’appartenance dans des activités qui vous emmènent loin de vous-même. Vous cherchez la reconnaissance, vous cherchez des miroirs auxquels vous demandez – auxquels vous suppliez – de confirmer votre existence, que vous êtes bien réel, que vous êtes bien là. Et ce faisant vous oubliez où vous êtes.

Vous oubliez que vous êtes droits, debouts sur cette Terre, foulant le sol, regardant les étoiles, humant l’air, et enveloppés par l’infinité du vivant.

Il vous suffirait de vous arrêter, d’attendre un instant, pour immédiatement sentir par votre corps votre appartenance au vivant. Vous ne faites qu’un avec lui. Vos cellules connaissent leur connexion.

Vous demandez quoi faire pour l’environnement, à titre individuel et collectif. Centrez-vous. Acceptez votre corps. Acceptez que vous ayez un corps. Acceptez que votre corps, comme tout ce qui est présent autour de vous, comme tout ce qui est vivant dans le temps et l’espace, a un début, et une fin. Acceptez la mort comme faisant partie du processus de la vie. N’ayez plus peur de cette mort. Car cette mort n’est qu’un changement de forme. Ce qui est vivant, ce qui est vraiment vivant, ne meurt pas.

Je vous ai demandé, au début de cette guidance, de vous situer. Vous situer, c’est accepter votre humanité. C’est accepter la matérialité. C’est accepter les efforts que demande chaque pas.

Ces efforts en eux-même ne sont pas la cause de votre souffrance. Mais la vision idéalisée de vous-même, le refus de votre incarnation, le dégoût de la chair, la déconnexion avec le vivant, le refus d’être là, c’est ce déni là, qui vous coupe de vous-même. Et c’est ce qui vous apporte la plus grosse expérience de perte.

Ce n’est qu’un choix. Vous pouvez choisir autrement. Et tout le vivant se réjouit lorsque vous faites ce choix, ce choix de le reconnaître, ce choix de l’aimer.

Réapprenez à vous aimer.

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