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Une méditation pour Pâques

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Contexte : Aujourd’hui c’est Pâques. Jésus transmet à Adrien un message qui nous rappelle à notre innocence, à notre liberté. Ce message vous est proposé ici comme une méditation afin que vous puissiez vous-mêmes faire l’expérience de son contenu. Bonne écoute.

Jésus dit : Aujourd’hui est un jour de fête. Laissez-nous dresser la table du festin, et soyez nos invités. Vous êtes les bienvenus tels que vous êtes, peu importe l’état d’esprit dans lequel vous vous trouvez maintenant. Sachez que les pensées les moins vraies que vous maintenez dans votre esprit ne provoquent aucune gêne à cette table. Aucune interférence. L’idée pour vous aujourd’hui est de rester dans cette énergie de connexion, plus que de connexion, de communion avec le plan spirituel. Que vous soyez porté par la clarté, la lumière de cette intimité avec nous.

– La méditation commence ici –

Jésus dit : Il y a un virus auquel peu d’entre vous échappent, qui est celui de la culpabilité. Cette culpabilité est une pandémie. Tous, chacun d’entre vous, vous pouvez voir ce virus à l’œuvre dans vos vies. Vous pouvez sentir sa morsure, qui survient comme par derrière lorsque tout semblait aller bien. Ce virus agit comme une ancre qui vous lie au malheur. Il est temps de briser les chaînes. Longtemps vous vous êtes débattus, vous vous êtes tournés et retournés dans tous les sens pour tenter de vous en libérer, et vous n’avez fait que vous enrouler, un coup à droite, un coup à gauche, dans cette chaîne de fer froid qui ne vous a jamais apporté aucun réconfort. Il est temps de briser les chaînes. L’énergie de panique, de peur, de désespoir, ne vous donnera pas ce qu’il faut pour briser ces chaînes. Elle ne fera que vous y empêtrer, les laissant se resserrer contre vous à la manière d’un nœud coulant. Ne m’en voulez pas d’employer ces images sévères. Il est temps d’appeler un chat un chat. Vous êtes malades, parce que vous n’êtes pas libres. Mais vous pouvez vous libérer.

Je vous ai dit plus tôt, que sur la croix j’ai renoncé à toute combativité. J’ai simplement baissé les bras (rire), une manière de parler si vous me permettez ce trait d’humour. Sur la croix, j’ai fait appel à une énergie qui n’était pas la mienne, et qui pourtant était en moi. Ce n’était pas l’énergie du désespoir. Beaucoup se rappellent de la phrase : « Mon Père, pourquoi m’as-Tu abandonné ». J’ai connu cette tentation. J’ai connu ce désespoir. Mais alors que je faisais face à ma plus grande peur, j’ai cru qu’un amour plus grand qu’elle viendrait me secourir. À partir de ce moment j’ai cessé le combat. Sans un mot, je me suis laissé transporter par la grâce de Dieu, et j’ai pu me reconnaître Esprit. Voici le modèle de libération que j’ai pu offrir au monde.

Lorsque vous sentez les durs bracelets des chaînes de la culpabilité vous enserrer l’âme, regardez ce qu’il reste de combativité en vous. Regardez la partie de vous qui veut gagner face à cette culpabilité, qui veut la soumettre à sa volonté. Qui veut faire quelque chose pour la changer, la transformer. Regardez cet être agité en vous. Ce n’est pas lui qui vous sauvera. Lorsque vous regardez cette partie de vous-même, vous pouvez vous rendre compte que Vous Êtes l’Esprit qui regarde. Vous n’êtes ni votre culpabilité, ni l’esprit agité qui voudrait avoir raison d’elle. Vous êtes l’espace infini dans lequel cette histoire est jouée. Prenez un moment pour ressentir cet espace. Pour ressentir Votre Présence, dans laquelle sont jouées ces histoires. Voyez comme cet espace n’est limité par rien. Comme ici vous êtes en paix.

Je sais que vous craignez que lorsque vous reviendrez dans la conscience de ces histoires, les chaînes de votre soi-disant culpabilité se fassent de nouveau sentir. Elles se feront sans doute sentir oui. Mais moins qu’auparavant. Et chaque fois que vous pratiquerez cet exercice de prendre de la distance vis-à-vis des histoires, pour rejoindre cet espace infini dans lequel votre Esprit est libre, chaque fois les chaînes auxquelles vous reviendrez se seront desserrées davantage. À mesure que vous avancerez, vous les sentirez moins. Votre état de conscience sera de plus en plus situé dans l’espace infini de votre Être véritable. Et lorsque la morsure de cette maladie viendra vous rappeler à elle, il vous sera de plus en plus facile de choisir de vous réaligner sur la fréquence de la Vérité.

Je sais que pour beaucoup, l’histoire de ma vie telle qu’elle est racontée est source d’effroi et d’angoisse. Elle est pourtant le témoignage sincère d’un individu qui au fil des différentes épreuves qu’il a dû surmonter, a appris à desserrer ses chaînes, s’est souvenu de l’Esprit qu’Il Est, et de la Source d’où il vient. Ne vous focalisez pas sur votre douleur présente. Ne vous focalisez pas sur les ténèbres qui montent en vous. Elles n’ont rien à vous apporter. Concentrez-vous plutôt sur votre prière intérieure, l’ouverture de votre cœur tel un récipient accueillant l’eau du Ciel. C’est cela que nous voudrions partager avec vous. C’est à ce banquet que vous êtes invités. Sans exception. Il n’y a que vous pour voir du mal en vous.

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