Contexte : Avant que le « Temps de pause » ne prenne fin, Adrien voudrait aussi se sentir aimé par l’Esprit et recevoir un message de lui.
Adrien : Je vois une couronne de roi. On m’invite à la mettre sur ma tête, ça me reconnecte à notre mariage où on étaient déguisés en roi et reine.
L’Esprit universel dit : Ta royauté n’est pas oubliée, il serait bon que tu t’en rappelles de temps en temps. Cela t’aiderait à assumer ton rôle. À comprendre en quoi ta fonction consiste.
Le roi a une fonction de visionnaire. Il est relié au divin, qui lui dicte les lois à faire appliquer dans son royaume. Des chevaliers sont réunis autour du roi pour faire respecter ces lois, et pour œuvrer à ce que la volonté de Dieu, transmise par le roi, soit faite.
Pour le moment, il serait bon que tu assumes ta fonction de roi, que tu t’y installes, et que tu veilles à entretenir ta relation avec le divin.
Ne te jette pas maintenant dans la fonction chevalier, sans avoir correctement en toi la fonction roi. Car un chevalier sans roi n’est qu’un mercenaire. Et les mercenaires ne font que couper des têtes.
Si tu veux œuvrer pour la communauté, assure-toi de nourrir ta fonction roi.
Lorène : Je voudrais m’assurer de ce que l’Esprit universel voit comme étant le royaume dans cette métaphore ?
Adrien : Mon royaume c’est mon monde. Comme dans la guidance où il nous était expliqué qu’on vit chacun dans des mondes différents, communs en partie avec celui des autres, ce qui fait qu’il y a des connections entre les différents mondes, et on est chacun rois de notre propre royaume.
Durant la guidance, au moment où il était question de royauté, Enrica a ressenti des nausées, comme si des énergies ne lui appartenant pas la traversaient. Coutumière de ce phénomène, elle nous en fait part, et Adrien refait une guidance pour voir ce qu’il en est, pendant qu’Enrica récite pour elle-même des mantras de déblayage énergétique.
Adrien : Alors l’image me vient tout de suite, je vois une grosse tâche de peinture sur le mur, qui coule, vraiment très grosse, et devant il y a un cercle de nuage qui encercle la tâche qui est derrière.
Là, ce que je ressens c’est de la colère. Le cercle de nuage c’est comme si j’avais tiré, et comme si c’était une balle de peinture qui avait fait cette tâche sur le mur.
Et pour moi ça fait écho à une colère en moi de ne pas arriver encore à peindre comme je le voudrais. Du coup il y a de la colère par rapport à ça. Et là de me dire que je vais rester dans cette fonction roi – en gros d’être connecté à l’Esprit et de prendre du temps pour méditer plus souvent, prier–, peut-être que ça m’énerve.
Je ressens qu’il y a quelque chose d’hyper en colère en moi qui fait que je ne peux pas vraiment peindre, parce que peut-être que le premier mouvement créatif ce serait plutôt un mouvement de destruction. Si vraiment je voulais peindre avec authenticité, ce serait plutôt de la destruction en fait, je casserais plutôt des toiles, et je sens que ça ne me ferait pas du bien.